Avec cet été hivernal, j'entends pas mal d'hôteliers souffrir. Les acteurs vendeurs du marché sont très sceptiques sur la marche à suivre. L'attentisme électoral puis l'attentisme socialiste sur les mesures à venir, le tout entremêlé avec la morosité ambiante, font que certains hôteliers ont retiré leur produit de la vente. En effet comment leur reprocher, à moins d'agir dans l'urgence, de choisir entre l'incertain et l'incertain. Vendre, c'est parfois abandonner un revenu, pour espèrer une faible rente. Mais vendre, c'est aussi pouvoir rebondir. Tout reste permis mais quand même, attention à la tempête !
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