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Paroles d'acheteur

Notre premier contact avec Jean Tronchon, c’était un jour de grand soleil sur la terrasse d’un café de la côte normande. Avant tout, il voulait savoir s’il avait affaire à des rêveurs ou à des pros. Il ne tourne pas autour du pot et ne vous raconte pas d’histoires.  Jean connaît bien l’hôtellerie et en a cerné les réalités et les mirages.  Il nous a présenté une seule affaire à l’époque : un bel hôtel,  d’un très grand standing, en bord de mer. Nous en avions plein les yeux… C’était un beau rêve car le prix de vente, bien au-dessus de nos moyens, nous a rapidement fait redescendre sur terre. Cependant, le miracle a eu lieu…  3 années plus tard, après avoir parcouru la moitié de la France, après bien des espoirs et des déceptions, nous sommes revenus vers ce bel hôtel. Jean Tronchon a placé toute sa confiance en nous et a monté un solide dossier. Il a réussi à convaincre les banquiers et nous sommes installés depuis quelques mois déjà.

Patricia RANGE et Patrick NORMAND

http://www.hotel-grand-pavois.com/fr/

Je me demande si le monde n'a pas changé

     Le mauvais temps revient. Des indiscrétions politiques font état que les socialistes après 100 jours d'inactivité, ne savent plus s'il faut tourner la barre à gauche ou à droite. Pour le moment, malgré les mesurettes prises, on devrait annoncer un début de chasse aux sorcières, mais en haut lieu de l'état, on ne sait plus qui sont les sorcières. C'est bien là le problème, car en plus, l'activité économique s'est contracté, et vous hôteliers, vous avez passé un mauvais été. Que dire du marché très atone des transactions ? On a l'impression parfois que tout le monde est en vacances et que tout le monde attend. J'avais connu cela avant les élections et on a le sentiment que ces élections ne sont pas finies pour tout le monde.

     Compte tenu des mauvais chiffres d'affaire, les vendeurs hésitent et les acheteurs font des visites. Même avec des taux bas, les banquiers comme d'habitude, jouent de plus en plus les empêcheurs de tourner en rond. Pourtant, malgrè des freins, certains font des opérations et j'en suis le témoin. Mais que c'est difficile ! Les dossiers d'aujourd'hui ne ressemblent en rien à ceux d'hier, et je vous avoue, tous les jours, il faut se battre pour trouver la solution. Parfois, je me demande si le monde n'a pas changé.

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Jean Tronchon Finance

Cabinet de Transactions

55.000 visiteurs

06 07 28 27 80

Et si on n'avait plus le temps

     Je vous invite tous à lire l'interview de Hartmut Rosa dans Le Monde Dossiers et Documents. Je reprendrais mot à mot ce que dit Frédéric Joignot du journal Le Monde.

" L'homme contemporain remonte désespérément une pente qui s'éboule. Nous fonçons pour rester à la même place, dans un présent qui fuit sans cesse. Car si nous arrêtons une seconde de courir – après le travail, nos courriels, nos rendez-vous, nos obligations, notre argent, après le temps qui file – nous tombons. Dans le chômage, la pauvreté, l'oubli, la désocialisation. Voilà le portrait du moderne, selon le sociologue allemand Hartmut Rosa. Le temps désormais s'accélère et nous dévore, comme hier Cronos ses enfants. L'accélération technique, au travail, sur les écrans, dans les transports, la consommation, a mené à l'accélération effrénée de notre rythme de vie. Puis a précipité le changement social. Rien n'y résiste.

Les métiers changent en quelques années, les machines en quelques mois, aucun emploi n'est assuré, les traditions et les savoir-faire disparaissent, les couples ne durent pas, les familles se recomposent, l'ascenseur social descend, le court terme règne, les événements glissent. L'impression de ne plus avoir de temps, que tout va trop vite, que notre vie file, l'impression d'être impuissant à ralentir nous angoisse et nous stresse. Ainsi Hartmut Rosa, 45 ans, professeur à l'université Friedrich- Schiller d'Iéna, développe sa "critique sociale du temps" de la "modernité tardive" dans sa magistrale étude, Accélération (La Découverte). "

Paroles d'acheteur

Une rencontre…
 
     Après avoir vendu un joli Hôtel 3 étoiles de caractère en Périgord Noir, nous avons commencé nos recherches au travers des réseaux dits traditionnels, avec des rencontres plus ou moins satisfaisantes. Les annonces du journal de l’Hôtellerie nous ont amené à solliciter le cabinet JTF. Une surprise, derrière cette contraction se cache un artisan de l’immobilier Hôtelier. Du cousu main. L’accompagnement a été complet en tout point de la présentation des produits, jusqu'à la signature à la fin du parcours.
     L’aide lors de l’élaboration du business plan, le choix et la rencontre avec les banquiers du grand art…..Un passé de responsable financier pour un groupe de luxe pourrait expliquer la chose. Jean Tronchon est un personnage un peu iconoclaste, et sa passion pour sa profession n’a d’égal que sa culture et son sens de l’humain ; il ne saurait laisser indifférent…
     Nous l’attendons dans notre nouvel établissement afin d’animer des conférences et comptons sur son aide afin  d’installer une bibliothèque thématique.
 
A bientôt
 
Isabelle et Vincent NOURRISSON

http://www.chateau-des-ducs.com/

Deux petits cochons qui reviennent

     Je rentre un hôtel. Pas de mandat car le vendeur me dit chut. Il ne veut pas que cela se sache. Logique. J'en parle à un acheteur qui me dit chut car il ne veut pas qu'on sache qu'il achète. Quoi de plus logique. Plus de nouvelles. Comme dans beaucoup de cas, le silence signifie l'abandon. Mais j'apprends qu'il se sont entendus comme de vieux copains et que chacun a feint de ne pas me connaître. Quand je reviens dans le bal, le tour de passe passe est déjà terminé. Tous les deux sont même étonnés de mon étonnement. Tous les deux sont même furieux de ma colère. Tous les deux me font des reproches, on ne sait pas de quoi ! Que j'existe ? Alors messieurs, comme disait quelqu'un, Dieu reconnaîtra les siens......

     Moi je continuerai à être honnête.

Exemple Hôtel vendu par JTF

Hôtel Les Ducs de Joyeuse

http://www.chateau-des-ducs.com/