À force de jongler avec les mots, on perd le sens du réel. Allez revisitons le dictionnaire :
Prix de vente vendeur : Souvent trop haut, peut être révisable à la baisse.
Prix de vente acheteur : Souvent trop bas, peut être révisable à la hausse.
Prix d'acquisition : Pas le vrai prix, mais c’est le prix qui figurera sur le chéquier.
Prix de marché : Prix virtuel dont seuls les hommes de marché ont connaissance.
Valeur : Notion qui n'est pas le prix, mais parfois se confond avec. La valeur est une notion d'espérance de gain, donc se situe entre tout. On suppose la valeur donc on paye le prix, mais on ne connaîtra le vrai prix donc la valeur qu’à la fin.
Rbe : Sorte de serpent de mer que certains préfèrent appeler par le terme anglo-saxon Ebitda, ou Ebe retraité, ou Cash-flow. Tellement flow qu’on dit chez les financiers que c’est du Cash Flou. C’est la trésorerie qui reste pour payer les emprunts (intérêts et capital), se payer comme dirigeants (salaires chargés), dégager une marge bénéficiaire.
Avocats et Notaires : Savants facilitateurs parfois un peu compliqués.
Banquiers : Hommes de confiance mais parfois méfiance.
Compte d’exploitation et Bilan : Tout est dedans, mais il faut apprendre à lire.
To : Taux d’occupation très utile sauf si on vend peu cher la nuitée.
Impôts : Mot qui change de définition tout le temps surtout en ce moment.
Normes : Invention étatique qui a ses utilités mais qui emmerde tout le monde.
Client : Roi mais on préfèrerait de temps en temps avoir à faire au roitelet.
Yield Management : Invention pour dire que tout peut fluctuer.
Météo : Notion de premier ordre.
Intermédiaire : Individu souvent décrié qui vous présente des affaires, et pas forcement celles que vous recherchez. À le mérite d’être un homme du marché, mais il faut qu’il connaisse la fiscalité, la comptabilité, la gestion, la finance, les hôtels, et tout le reste car en plus il faut qu’il soit à l’écoute et qu’il sache parler.
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