Nous
revoilà encore en plein milieu de l’été avec beaucoup trop d’incertitude. Les
acheteurs se posent des questions sur l’opportunité ou pas d’un achat et les
vendeurs se demandent si c’est trop tôt ou déjà trop tard pour vendre. Jamais
les taux bancaires n’ont été aussi bas et jamais la mise 2011 n’a été autant
remise en question. Cependant, tout montre clairement que le marché, de par ses
mauvais résultats, est très volatil. C’est ainsi que les bons produits et les
bons acheteurs sont rares. Mettez dessus l’hyper comptabilisation des affaires
par les experts-comptables, l’hyper complication des dossiers par les avocats
et les notaires, et ajoutez une pincée d’hyper frilosité de la part de nos banquiers
nationaux, et « hop » le tour est joué : personne ne bouge. On
dira que c’est la mi-août mais quand même, je commence à regretter le temps où
le mieux était clairement l’ennemi du bien. Vous savez le temps où l’on disait oui
en réfléchissant mais sans se compliquer la vie, le temps où l’intuition était
encore vivante.
Eh oui pour l'intuition, et oui pour la simplicité! Les procédures ,les diagnostics et les normes deviennent pratiquement "insurmontables".
Où est le temps où on signait un compromis sur une simple feuille avec l'envie de remonter une affaire?
Merci pour les rectifications sur ( la valeur d'un hôtel) il reste des valeurs inquantifiables :être à 100 m de la mer ou ouvrir ses fenêtres sur la montagne ne s'achète pas le même prix que d'exercer en face de la gare de "trou du cul du monde" pardonnez moi l'expression.
Cordialement,
Rédigé par : nana | 03 septembre 2010 à 11:58