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Côte d'Opale Hôtel Bureau 3* 25 Ch

N° 585

  Hôtel Bureau Bord de Mer

HÔTEL 3 *** 25 Chambres

Côte d'Opale

CA 680 K€

Fonds - 1.600 K€

Hôtel Vendu par JTF

Grand Hôtel de l'Europe - Langres

https://www.logishotels.com/fr/hotel/logis-grand-hotel-de-l-europe-3066?partid=661

 

Citation

Le marché est aussi parfois un bouc émissaire pour notre propre hypocrisie.

Jean Tirole

Prix Nobel d'Économie 2014

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Normandie Hôtel Restaurant 3* 5 Ch

N° 582

  Hôtel Restaurant Bord de Mer

HÔTEL 3*  5 Chambres

Normandie Cotentin

CA 700 K€ (Hôtel 120 Restaurant 580)

Fonds - 450 K€

Côte de Nacre Hôtel Bureau 3* 15 Ch

N° 580

 Demeure Bourgeoise Très Bel Hôtel Bureau Proche Mer

HÔTEL 3 * 15 Chambres

Normandie Calvados

CA 260 K€

Murs et Fonds - 1.400 K€

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Bourgogne Superbe Hôtel 3* 30 Ch

N° 577

Superbe Hôtel Restaurant

HÔTEL RESTAURANT 3* 30 Chambres

Côte d'Or

CA 1.300 K€ (Hôtel 600 Restaurant 700)

Murs et Fonds - 2.500 K€

Pays de la Loire Hôtel 50 Ch 3 ***

N° 578

Hôtel Restaurant sous Franchise

HÔTEL RESTAURANT 3* 50 Chambres

Sarthe

CA 850 K€ (Hôtel 600 Restaurant 250)

Murs et Fonds - 2.900 K€

JTF

Citation

La question est quand est ce que c'est bon ? La réponse est jamais.

Eugène Fama

Prix Nobel d'Économie 2013

JTF

Normandie Hôtel Bureau 3* 30 Ch

N° 572

 Superbe Hôtel Bureau Bord de Mer

HÔTEL 3 * 30 Chambres

Basse Normandie

CA 880 K€

Fonds - 1.600 K€

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Citation

Ce n'est pas la science économique qui est fausse, c'est la réalité.

George Stigler

Prix Nobel d'Économie 1982

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Le tourisme rattrape son retard ?

     Depuis un an, c’est une constante : on ne fait pas meilleur agent de voyage qu’Emmanuel Macron. L’annonce du déconfinement, jeudi 29 avril, offrant la perspective d’une libération totale du pays au 30 juin, a permis aux professionnels du tourisme de commencer à engranger des réservations. Le bénéfice du grand air s’est exprimé fortement quad l’hôtellerie continue de souffrir. Comme en 2020, la clientèle nationale pourrait pallier l’absence des touristes britanniques et extra-européens. Les Européens feront l’objet d’une cour assidue de la part d’Atout France. La France doit, la semaine prochaine, dresser une nouvelle liste de pays classés vert, orange et rouge, et définir les contraintes associées à chaque couleur. De quoi rassurer les touristes belges, suisses et allemands, particulièrement ciblés pour leur pouvoir d’achat. Pour l’heure, les professionnels enregistrent presque exclusivement des réservations intérieures. Les grandes tendances de 2020 semblent se confirmer : prééminence incontestée du littoral, montée en puissance de la montagne et de la campagne au détriment des villes. Les déplacements en groupe et en voiture, donc à proximité, se renforcent également, tout comme le logement non marchand, dans la famille ou chez les amis. Les logements autonomes, comme depuis le début de la pandémie, s’en sortent mieux que les hébergements collectifs. L’hôtellerie de plein air, qui représente la moitié des nuitées touristiques chaque été, bénéficie de réservations très dynamiques, permettant de combler le retard pris depuis six mois. Le haut de gamme jouit de cette explosion, tiré à 84% par la clientèle française. Comme en 2020, les vacances au sein du pays de Français aisés devraient soutenir les chiffres d’affaires du luxe, qui souffre toutefois du manque de clientèle lointaine. L’arrière-saison pourrait, quant à elle, marquer le retour des touristes américains, sous réserve que l’amélioration sanitaire se confirme.

Clément Guillou du Journal Le Monde (Extraits)

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Normandie Hôtel Bureau 2 ** 20 Ch

N° 570

 Hôtel  Bureau Centre Ville

HÔTEL 2 * 20 Chambres

Normandie - Cotentin

CA 180 K€

Fonds - 350 K€

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L'Hôtellerie va changer d'époque

     En fait, tout manque de visibilité. Bien sûr, les campagnes de vaccination commencent à faire leurs effets. Mais les portes ne sont pas fermées, et personne ne peut dire à quel moment nous serons débarrassés de cette pandémie pour pouvoir enfin tous retravailler. Tant que cette crise ne sera pas définitivement derrière nous, il y aura toujours des incertitudes sur le rebond. Et cette incertitude se traduit dans le ressenti des individus car beaucoup imagine que les effets après crises vont perdurer. En un mot, il va falloir vivre et travailler différemment. Cela signifie que le sur équipement et l’hyper consommation ne sont plus des promesses de bonheur. On va aller chercher de plus en plus le vrai, le non polluant et le local. Les comportements doivent changer, vont changer, et ils changeront. L’épargne n’ira pas à la consommation, compte tenu des aléas et le prix restera la valeur centrale de l’économie. Cela signifie clairement selon moi que pour la partie hôtellerie entreprise, le télétravail restera même s’il diminue de 50%, que la tenue des congrès va s’effriter, que les déplacements seront sensiblement revus à la baisse, que les déplacements internationaux eux aussi vont s’atténuer. Nous retrouverons le chemin 2019 qu’aux alentours de 2023. Pour la partie tourisme, là aussi, les gens vont chercher à profiter à plein de leurs loisirs donc priorité sera donnée, selon moi, à ce qu’il y a de mieux. Je suis certain que le tourisme en France récupérera de nombreux français ne voulant pas partir à l’étranger. Pas de restaurants donc pas d’hôtels, et pas d’avions donc pas de tourisme international. 2023 semble aussi un nouveau point de retour. En attendant, je suis surpris de voir des hôtels fermés ou avec 10% d’occupation, et d’autres à 50% d’occupation, et enfin d’autres archis pleins en semaine, vides le we. Tout dépend de leur emplacement mais aussi de leur marketing, et de leur commercialité. Demain, un écrémage va se faire, car les hôtels pas beaux, petits ou grands, auront moins la côte, et ceux qui ne sauront pas proposés une pseudo restauration ou une pseudo attractivité ou encore une pseudo identification allant dans le sens de la société moderne, auront du mal à surnager. L'hôtellerie va changer d’époque.

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Citation

Le comportement d'une personne est rationnel s'il est dans son intérêt compte tenu de ses informations.

Robert Aumann

Prix Nobel d'Économie 2005