On pourrait dire trop sur tout. Trop c'est trop. Tiens donc. Tout coûte mais là c'est trop. Tout est reglementé mais là c'est trop. Ne parlons pas de la paperasse, car là cela devient aussi difficile d'acheter un hôtel qu'une multinationale. Trop d'impôts, trop de taxes, trop de surcharges, trop de charges salariales, trop de freins, trop de questions. Vous voyez un banquier, et on a l'impression que c'est l'affaire de trop. Vous voyez une norme, personne ne la lit en détail, car c'est trop. Personne ne connaît les lois fiscales et comptables car elles se sont empilées les unes sur les autres. Trop c'est trop. On aurait voulu la simplicité, on a eu la complexité. On aurait voulu comprendre tout, mais il y a trop à comprendre. On aurait voulu tout simplement anticiper, mais en fait comme c'est trop, on arrive même pas à gérer. Trop de pressions. Trop de dépressions. Trop de trous. Trop de marché qui nous inonde. On a perdu le cap du bon sens, et quand on le retrouve, ou quand on pense l'avoir retrouvé, l'État des socialistes écologistes, donc celui des gens qui haissent l'entreprise, vous rattrape parce que vous êtes de trop. Vous qui pensiez, sachez que quelqu'un au gouvernement veut justement que vous ne pensiez pas. Ils disent que vous en faites trop, que vous gagnez trop d'argent, que vous êtes des méchants. Je vous le dis, quand même, mon combat comme le vôtre, pour la liberté d'entreprendre, celui là, ce n'est pas un combat de trop, car nous sommes trop nombreux et que eux, ils sont de trop.
Samedi 28 Septembre 2013
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